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LA GROSSE ESCROQUERIE
 
 
 
 
... pour en finir avec LA SECTE !

 

 

"Ces personnes [qui mentent gratuitement] sont, à vrai dire, beaucoup plus nombreuses qu'on ne le suppose généralement, et un domaine comme celui du monde concentrationnaire – bien fait, hélas, pour stimuler les imaginations sado-masochistes – leur a offert un champ d'action exceptionnel. Nous avons connu de nombreux tarés mentaux, mi-escrocs, mi-fous, exploitant une déportation imaginaire ; nous en avons connu d'autres, déportés authentiques, dont l'esprit malade s'est efforcé de dépasser encore les monstruosités qu'ils avaient vues ou dont on leur avait parlé et qui y sont parvenus. Il y a même eu des éditeurs pour imprimer certaines de ces élucubrations, et des compilations plus ou moins officielles pour les utiliser, mais éditeurs et compilateurs sont absolument inexcusables, car l'enquête la plus élémentaire leur aurait suffi pour éventer l'imposture." Germaine Tillion (1907-2008, ancienne déportée, ethnologue), Le Système concentrationnaire allemand (1940-1944), in Revue d'Histoire de la Deuxième Guerre mondiale, juillet 1954, p. 18, note2.

 

Le cynique vous ment, en vous regardant droit dans les yeux. Il sait que vous savez qu'il ment ; il n'en continue pas moins de vous mentir, en vous regardant droit dans les yeux !

Claude Lanzmann est un cynique, qui avoue, sans ambages, son allergie pour les archives et les pièces à conviction. C'est ce qu'il appelle "faire un film à partir de rien" !

* Tuer un bourreau pour exalter la vie (Claude Lanzmann). Libération, 17 octobre 2001, p. 37

Question : Vous refusez constamment le document d'archive. "Sobibor" commence pourtant par une photo d'époque : l'enterrement des officiers nazis tués lors de la révolte…
Lanzmann : J'ai dit que si, par impossible, je trouvais un film muet d'une minute montrant comment 3000 Juifs pouvaient mourir dans une chambre à gaz, je le détruirais. Cela n'existe pas. Il n'y a pas ce type d'archive visuelle. Car l'élimination des documents faisait partie intégrante de la politique d'extermination. C'est le défi de Shoah : comment faire un film à partir de rien...

 

"L'élimination des documents faisait partie intégrante de la politique d'extermination..." (sic).

 

Démonstration de l'"élimination des documents" par les Nazis :

four_crématoire_krematorium_konzentration_lager_nazismus_nazi_camp_hitler_nuremberg_treblinka_auschwitz_bergen_belsen_shoah_holocaust_propaganda_mauthausen_dachau_ghetto_buchenwald_cobaye_versuch_warschau_varsovie

Expérience de congélation, pratiquée en camp de concentration, sur des cobayes humains, avec relevés (température, pouls, fréquence respiratoire), jusqu'à ce que mort s'en suive (Exitus).

[Précision importante : le naufrage du Titanic (15 avril 1912), qui a constitué la première grande catastrophe du genre, a eu un écho considérable dans le monde, en raison notamment du "standing" des victimes, issues de la haute bourgeoisie internationale. En Allemagne nazie, d'aucuns penseront à développer des procédures destinées à protéger de l'hypothermie les marins victimes d'un naufrage. Certains "savants nazis" n'hésiteront pas à recourir, en camps de concentration, à des cobayes humains. Sur le document ci-dessus, tout en haut et à droite, on peut constater que les cobayes étaient traités au "Dextropur", un antidote censé augmenter la résistance des naufragés pris dans de l'eau glacée. D'autres cobayes serviront aux savants nazis à développer d'autres expériences, comme ces essais sur des sauts en parachute à haute altitude, ainsi que sur la mise au point d'antidotes contre les gaz de combat, expériences conduites dans des... chambres à gaz.]

 

four_crématoire_krematorium_konzentration_lager_nazismus_nazi_camp_hitler_nuremberg_treblinka_auschwitz_bergen_belsen_shoah_holocaust_propaganda_mauthausen_dachau_ghetto_buchenwald_warschau_varsovie

 

Extrait :

Compte rendu d'un massacre par armes à feu de la population d'un village ukrainien, avec relevé méthodique des prénom, nom et âge des victimes.

Nom
Prénom
Statut
Âge
         
1
Sosnowez
Ksenia
Mère
39
2
 
Marie
Fille
18
3
 
Pawlo
Fils
5
4
 
Nina
"
10
5
 
Osypa
"
8
6
 
Petro
"
5
7
 
Ksenia
 
50
8
 
Kateryna
 
60

"Liste d'Ukrainiens fusillés le 29 janvier 1943. Village : Sumin, District de Tarnawatka."

Source : Tribunal militaire de Nuremberg (1945-1946), Pièce n° 1526-PS

 

Pour mémoire : sous le sceau du secret d'État (Geheime Reichssache), l'administration nazie communiquait abondamment, et en langage non codé, comme nous vous le démontrerons tout au long des pages de ce site. Et, de fait, le tribunal de Nuremberg n'a pas manqué de pièces à conviction particulièrement parlantes ! Mais Claude Lanzmann ne doit pas lire l'allemand !

 

geheim

Modifications opérées sur des véhicules spéciaux ("L'explosion survenue à Kulmhof/Chelmno doit être considérée comme un cas isolé, dû à un défaut de manipulation...").

 

Autre document particulièrement parlant et illustrant parfaitement le rapport de fusillade évoqué plus haut :

fusillade

Ci-dessus : massacre de groupes "judéo-bolcheviques" par les nazis, dans un village polonais. Le photographe n'est autre qu'un des membres de l'escadron de la mort, qui a dû vouloir s'offrir un trophée !

 

Madeleine Rebérioux dixit :

"Allons d’emblée à l’essentiel. Quelles que soient les intentions de Roger Garaudy, les sommations qu’il adresse aux historiens ne sont pas de mise. Ceux-ci ne l’ont pas attendu pour faire leur travail : préciser les étapes du génocide nazi à partir de l’entrée en guerre de l’Allemagne contre l’URSS et des massacres commis par les "Einsatzgruppen" [mais oui !!!], serrer de plus près des chiffres dont ils ne jugent pas honteux de discuter, montrer l’existence, à Auschwitz, des chambres à gaz destinées à tuer des êtres humains, en l’occurrence des juifs, et non des "poux", comme l’ont écrit certains négationnistes.(...)

Même si, pour qu’il puisse y avoir débat, un minimum de bonne foi est indispensable. Comment tenir pour nuls et non avenus les témoignages de ceux qui, sortant des trains et ayant eu la "chance" d’être sélectionnés du "bon côté", et donc parfois de survivre, ont vu vieillards, femmes et enfants, séparés d’eux sur la rampe d’Auschwitz, se diriger vers la mort : jamais enregistrés, jamais revus ? Or c’est précisément ce que fait Garaudy. Et comment admettre que soient balayés du revers de la main les travaux de ceux qui ont trouvé, dans les archives de ce camp, la preuve des commandes passées pour alimenter en gaz les chambres de la mort ? Or c’est précisément ce que fait Garaudy. Chercher, toujours chercher - établir des faits, les confronter, comprendre leur enchaînement et leur sens -, c’est une tâche d’historien. (...)"

Cet article de l'historienne Madeleine Rebérioux (1920-2005), dont nous ne reproduisons qu'un extrait (en mettant en exergue certains passages), est resté fameux. On y trouve cette fameuse phrase : Nuremberg ignore la focalisation sur les chambres à gaz que les négationnistes d’une part, la mémoire juive de l’autre, les souvenirs des survivants enfin ont petit à petit imposée..., mélange de langue de bois et de phraséologie diplomatique. Autant dire que la jurisprudence "nurembergienne" a été dévoyée. De manière toute diplomatique, en effet, madame Rebérioux relève gentiment l'imposture commise par les pros du « shoah-business », lesquels ont commencé par zapper complètement les massacres commis dès l'entrée des nazis en territoire soviétique : rien qu'entre septembre 1941 et mars 1942, on estime à trois millions le nombre de prisonniers soviétiques massacrés par les nazis ; un record, le tout sans la moindre chambre à gaz, et ce, des mois avant la soi-disant shoah ! Tout récemment, nous avons vu apparaître le concept imbécile de « shoah par balles », laquelle n'aurait concerné que les juifs d'Europe orientale.

Observons, en passant, que Madeleine Rebérioux admet, implicitement, que les "négationnistes" se situent dans le droit fil du Tribunal de Nuremberg, lequel finira, un jour, par passer pour un tribunal négationniste, dès lors qu'il entend ignorer la focalisation sur les chambres à gaz ! De fait, Madame Rebérioux aurait dû écrire que Nuremberg ignore la focalisation sur les chambres à gaz que la mémoire juive et les survivants... ont imposée, les "négationnistes" se contentant de s'opposer aux thèses des groupes susnommés.

Quant à la preuve fournie par les témoignages de ceux qui, sortant des trains et ayant eu la « chance » d'être sélectionnés du « bon côté », et donc parfois de survivre, ont vu vieillards, femmes et enfants séparés d'eux sur la rampe..., nous pourrions rappeler à tous les contradicteurs des « négationnistes » que, lors d'un procès criminel du calibre de celui de Nuremberg, on est en droit d'attendre du Ministère public et des parties civiles des preuves autrement plus consistantes que des balivernes racontées par un tel ou une telle ["Il incombe à la partie qui invoque un fait d'en apporter la preuve !"], quand on voit le nombre conséquent de soi-disant survivants des camps, auteurs de bestsellers, qui ont fini par se faire démasquer comme affabulateurs (cf. cette fillette qui aurait vécu parmi les loups !) car n'ayant jamais mis les pieds dans les camps en question ou n'ayant pas dit toute la vérité !

Car s'il est UNE preuve réclamée par tout bon (!!!) magistrat instructeur, lors d'une procédure criminelle, ce ne sont pas des témoignages aléatoires de gens prétendant avoir vu des choses (pensons aux élucubrations d'Elie Wiesel, qui aurait vu les nazis déverser des enfants vivants dans des brasiers dont les flammes montaient jusqu'au ciel ; et on lui a donné le prix Nobel pour ces conneries !) mais bien le rapport d'autopsie (en l'occurrence, un rapport par victime, soit plusieurs millions pour l'ensemble des "millions de victimes" de la soi-disant Shoah !). Rappelons, en passant, que le gaz Zyklon B était à l'origine un insecticide, produit par la firme DEGESCH (Deutsche Gesellschaft für Schädlingsbekämpfung : Entreprise Allemande pour l'éradication des nuisibles/de la vermine). Sur ce plan, en tout cas, Faurisson, Garaudy, Rassinier... ont entièrement raison !

Par ailleurs, tout bon collégien, élève de la classe de quatrième, pratiquant l'allemand en LV1, sait que « Kammer » veut dire littéralemement « petit » (cf. Kammermusik : musique de chambre = Corelli, Vivaldi, Tartini, Albinoni, Telemann, etc.), un orchestre de musique de chambre étant une petite formation de moins de vingt musiciens. Les fameuses chambres à gaz étaient, donc, des locaux de petite taille, à l'instar des camionnettes à gaz, dont on sait bien qu'elles ne pouvaient guère contenir plus d'une soixantaine de personnes !

Et c'est bien cette impression de flou et de n'importe quoi qui est problématique, les historiens étant dépossédés de leur mission, rappelée par Madame Rebérioux, au profit de magistrats autoproclamés « experts en génocides nazis », au risque de se couvrir de ridicule (historiens et magistrats) le jour où sera éventé le pot-aux-roses !

Ah, tout de même, à propos des vieillards, femmes et enfants sélectionnés : des vieillards vivants, nous n'en avons vus sur aucune archive relative aux camps de concentration nazis, ce qui laisse peu de doutes sur leur sort (mais doute ne veut pas dire preuve !) ; sinon, à Auschwitz, il y avait bien un « Frauenlager », donc des femmes, ainsi qu'un « Zigeunerlager », pour les Tziganes, dont nous savons qu'aucun n'est sorti vivant de là (à se demander si ce n'étaient pas eux, les Tziganes, les véritables candidats au génocide... De nombreux indices concourent à renforcer cette impression, à commencer par l'absence absolue du moindre Tzigane parmi les "survivants" filmés par Claude Lanzmann [Shoah] et Patrick Rotman [Les survivants] , ce qui est quand même très étrange... Nous en reparlerons.) ! Le fait est qu'il n'y a jamais eu de « Judenlager » à Auschwitz. Quant aux enfants, celui représenté ci-dessous porte bien un numéro matricule.

 

enfants

 

Voilà qui répond au problème du "jamais enregistrés !" Par ailleurs, si Mengele est réputé pour ses tests sur des jumeaux, c'est bien parce qu'il avait de petits cobayes sous la main, non ? Et que penser (de l'ouvrage) du sieur Jo Wajsblat qui, à treize ans, se serait retrouvé dans la (= UNE SEULE ?!?!) chambre à gaz d'Auschwitz, dont il aurait été extirpé de justesse par Mengele lui-même ? Mais au fait, pourquoi tant de médecins lors des "actions spéciales", sachant qu'une mise à mort sous assistance médicale porte un nom : "euthanasie" ?!

 

wajsblat

 

Et puis, pourquoi diable immatriculer des gens avant que de les exterminer (il est vrai que les villageois ukraniens évoqués plus haut ont bien été répertoriés avant fusillade !) ? Et surtout, pourquoi les avoir transportés si loin pour ce faire, quand on sait que ces transports coûtaient la peau des fesses au ministère allemand de l'intérieur ? Voilà une énigme que nos professionnels du shoah-holocauste-business n'ont jamais trouvé le temps d'élucider. Comme on les comprend !

Le message que nous entendons adresser à l'ensemble des autorités, mouvements, groupes divers - quelques courriers ont déjà été adressés par nos soins à divers responsables politiques, ministères, administrations, juridictions, organes de presse, historiens authentiques ou de pacotille, etc., ceci pour prouver que nous avons l'intention claire d'afficher nos ambitions.- est simple : la plaisanterie a assez duré !

La France vit, en ce moment, un véritable climat de chasse aux sorcières initié par un ramassis d'escrocs qui savent que, tôt ou tard, la vérité se fera jour. Mais voilà, leur lâcheté est telle qu'ils en sont réduits à instrumentaliser les lois et réglements, pour faire condamner et réduire au silence tel ou tel contestataire de leurs affabulations. Tout cela, nous le savons, comme nous sentons bien que ce climat de chasse aux sorcières vise essentiellement à intimider les chercheurs, en les dissuadant d'aller plus loin dans leurs investigations. De l'autocensure, voilà ce qu'ils attendent de nous, comme ils aimeraient, apparemment, nous voir nous convertir au judaïsme (un holocauste est un élément de la liturgie juive) ou nous mettre à l'hébreu (le terme hébreu "shoah" se réfère à une catastrophe naturelle.) ! Bien évidemment, nous entendons récuser l'un et l'autre vocables ! Et pour que les choses soient bien claires, nous mettons quiconque - agrégé(e) ou docteur en histoire - au défi de dénicher la moindre faille dans les démonstrations et assertions que nous envisageons de faire tout au long des pages de ce site !

Nous avons vu comment Bruno Gollnisch (dont nous ne partageons pas l'idéologie frontiste) a été traîné dans la boue, des années durant, pour des propos anodins, le tout par une clique de grands et petits inquisiteurs dont la stupidité n'a d'égal que le cynisme. Mais il y a aussi tous ces chercheurs, historiens, notamment à l'université de Lyon, ainsi que les Robert Faurisson, Roger Garaudy, etc., avec lesquels nous ne sommes pas d'accord sur tout, certes, jusqu'à notre ami Dieudonné, toutes gens vilipendées et jetées en pâture aux chiens, selon une procédure que Staline lui-même n'aurait pas reniée, parce qu'une certaine clique de crétins prétend nous imposer une vérité officielle selon laquelle, entre 1939 et 1945, un seul groupe aurait été en butte aux persécutions nazies, "vérité" dont tout(e) bon(ne) historien(ne), même amateur, sait qu'elle a été fabriquée postérieurement au Tribunal de Nuremberg !

Nous reprendrons volontiers à notre compte ces propos de Paul-Eric Blanrue, auteur d'un fameux "Sarkozy, Israël et les Juifs" :

(...) "C'est la raison pour laquelle ces réseaux (pro-israéliens) ne peuvent se risquer à promouvoir le débat contradictoire sur des questions embarrassantes pour eux et sont contraints d'entretenir, contre tout opposant réel ou supposé, un odieux chantage à l'antisémitisme. Ils en sont maintenant réduits à lancer l'idée d'une loi, abusivement nommée "Martin Luther King", qui assimilerait l'antisionisme à l'antisémitisme. Ce combat d'arrière-garde est perdu d'avance. Comment débattre loyalement quand on a soutenu et soutient encore des criminels de guerre ? C'est impossible. La tactique la plus rapide, efficace à court terme, consiste à condamner tout propos jugé "politiquement incorrect". Mais l'histoire a prouvé qu'on ne gagne jamais le coeur d'un peuple en utilisant la force ou la peur. Lorsque la contrainte est abusive, la population finit, un jour ou l'autre, par se rebeller. C'est pourquoi j'en appelle plus que jamais à la libération de la parole.

(...) Comment s'y prendre ?, m'a-t-on demandé. Selon moi, il importe que ceux qui énoncent des faits irrécusables cessent de se justifier timidement, comme on l'exige d'eux. Il leur faut au contraire prendre la parole sans attendre qu'on la leur donne, dire ce qu'ils pensent en toute simplicité, sans débordement inutile, mais, surtout, en ne reculant pas d'un pouce.

Car, enfin, nous n'avons pas à nous excuser d'être en faveur de la liberté d'expression. Nous n'avons pas à nous défendre d'être horrifiés par les crimes contre l'humanité perpétrés à Gaza. Nous ne devons pas non plus avoir peur d'être pour la paix. Nous ne sommes pas des coupables, mais des pionniers : voilà la façon dont il faut raisonner. Dans ce climat de conformisme généralisé, de pensée crispée et de crainte larvée, un peu d'esprit d'aventure ne nuira pas !"

Nous ne saurions mieux dire !

 

 


 

 

 

 

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