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Edito

 

Les références de ce site ont été communiquées à un certain nombre d'autorités administratives et judiciaires, organes législatifs ainsi qu'organes de presse..., dont la liste qui suit n'est pas exhaustive :

  • Ministère (français) de la Justice
  • Ministère (français) de l'Éducation nationale
  • Présidence de la Cour de Cassation
  • Présidences de l'Assemblée Nationale et du Sénat
  • Agence France Presse
  • Conseil Représentatif des Institutions Juives de France
  • Ligue contre le racisme et l'antisémitisme
  • Ligue des Droits de l'Homme
  • Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA)
  • Mémorial de la Shoah (Paris)
  • Revue Historia
  • CNRS
  • Association SOS Racisme
  • etc., d'autres correspondants, notamment internationaux, devraient suivre.

Notre but est de ne plus nous laisser dicter notre conduite, en matière d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, par quelque lobby que ce soit, et ce, après de longues années (soit depuis au moins 1985) d'études des archives les plus diverses.

Il se trouve que quelqu'un, que nous ne connaissons pas personnellement, à savoir le comique Dieudonné M'bala M'bala, fait l'objet, depuis un certain nombre d'années, d'une campagne de lynchage systématique, le tout sur la base de déclarations qui ne contredisent en rien les fondements mêmes de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. Seulement voilà, l'homme a l'heur de déplaire à certain groupe de pression ou lobby, qui prétend régenter la parole concernant le crime nazi. Et c'est là que nous disons STOP, ÇA COMMENCE À BIEN FAIRE !

Il se trouve, par ailleurs, que la justice française, souvent instrumentalisée par le lobby susmentionné, a eu tendance à oublier quelques piliers de la déontologie judiciaire :

  • le principe de la charge de la preuve, qui veut, précisément, qu'il incombe à la partie qui invoque un fait d'en apporter la preuve.
  • la prise en compte de la jurisprudence, notamment celle découlant du procès des criminels nazis à Nuremberg (1945-1946).

Ce qui, du coup, a conduit certaines juridictions françaises, à la suite du ministère public, à fouler aux pieds les vérités établies lors du plus grand procès anti-nazi de l'histoire, le fameux Tribunal de Nuremberg.

Le fait est que Nuremberg, conformément à une maxime que nous devons à l'historienne Madeleine Rebérioux, "ignore la focalisation sur les chambres à gaz...", en clair : en 1945/46, accusation et partie civile n'ont pas été en mesure, devant les juges de Nuremberg, d'établir ne serait-ce qu'un commencement de preuve d'un "judéocide" intervenu dans des chambres à gaz sises dans les camps de concentration nazis.

Après Nuremberg, il incombait, par exemple, aux tenants de la thèse d'un "GENOCIDE DE JUIFS DANS DES CHAMBRES A GAZ" de contester les conclusions dudit procès, dans la mesure où ce dernier entendait ignorer la question et, par voie de conséquence, d'obtenir sa RÉVISION AINSI QU'UN NOUVEAU PROCÈS, le tout, sur la base de la fourniture d'éléments nouveaux, sérieux et déterminants, susceptibles de déclencher une révision, comme ce fut le cas dans l'affaire Patrick Dils.

Le fait est qu'en l'absence d'une révision du procès de Nuremberg, l'état de la jurisprudence reste celui établi en octobre 1946, à savoir, entre autres choses, la non reconnaissance d'un prétendu génocide intervenu dans des chambres à gaz.

C'est, jusqu'à aujourd'hui, cette jurisprudence-là qui devrait s'imposer à l'ensemble des juridictions.

Or, que constatons-nous ? Qu'en de multiples circonstances, des procès en sorcellerie ont été conduits contre des dissidents, rapidement baptisés "révisionnistes" ou "négationnistes" par des organismes ou personnes n'ayant jamais rien prouvé, en tout cas, ayant toujours bénéficié d'une étrange mansuétude de la part de législations et de juridictions promptes à s'asseoir sur les principes généraux qui fondent le droit dans tout pays civilisé, ce qui a conduit à cet étrange mouvement de contorsionniste consistant à se reconnaître de Nuremberg tout en en violant les principes.

Faut-il s'étonner, par ailleurs, que ce soit à un militant communiste, ancien stalinien, que l'on doive - même si nous ne sommes pas dupes et supputons qu'en la matière, Jean-Claude Gayssot n'a été qu'un homme de paille, sorte d'idiot du village ! - cette stupidité absolue baptisée "Loi Gayssot", laquelle réussit le tour de force de s'appuyer sur Nuremberg pour mieux en violer l'esprit et la lettre !

De fait, le diverticule législatif baptisé "Loi Gayssot" renvoie à l'article 6 du traité constitutif du Tribunal de Nuremberg, lequel ne dit pas un mot des chambres à gaz. Mais c'est pourtant sur la base de cet article que la justice française a entrepris d'organiser la chasse aux sorcières qui vaut au meilleur humoriste de France d'être traité en pestiféré, dans un pays qui se découvre plus stalinien que la Russie de Poutine et Medvedev !

Car s'il est une vérité incontestable, de nos jours, c'est que, quoi qu'on puisse leur reprocher, Robert Faurisson, Roger Garaudy et d'autres partageant leurs thèses et, a fortiori, tous ceux et toutes celles qui s'interrogent sur la consistance du judéocide susmentionné NE VIOLENT EN RIEN LES CONCLUSIONS CONTENUES DANS LE VERDICT DU PROCÈS DE NUREMBERG !

C'est, donc, pour de multiples raisons, dont celle-là, que nous avons décidé de prendre la plume, en nous appuyant sur ce formidable outil de contre-propagande que constitue l'Internet. Et comme, par ailleurs, nous avons déniché une masse plus que conséquente de pièces à conviction, nous sommes en mesure de déclarer à l'ensemble des autorités susmentionnées : MAINTENANT, ON ARRÊTE LES CONNERIES !

Les chambres à gaz homicides ? Que ceux qui prétendent qu'Hitler y a enfermé des millions de Juifs dans le but de les exterminer en apportent la preuve !

Dans le cas contraire, Nuremberg reste - malgré tous ses défauts et toutes ses insuffisances - la (seule et unique) norme, ce qui, comme il ressort du verdict du Tribunal militaire international de Nuremberg (octobre 1946), veut dire qu'entre 1939 et 1945, aucune extermination n'a été conduite dans quelque chambre à gaz que ce soit.

Tout récemment, la Justice française a été secouée par les manquements intervenus lors de l'instruction préparatoire au procès dit d'Outreau. Il fallait bien un bouc émissaire : ce fut le jeune magistrat instructeur. Ce que nous pressentons, c'est que la persécution des contestataires de ce que les néga-sionistes appellent tantôt "shoah" (*), tantôt "holocauste" devrait conduire à un cataclysme encore plus retentissant qu'Outreau, dans la mesure où nous n'hésitons pas à avancer - et nous le prouverons ! - que 95 % des thèses que constituent la "shoah" et l'"holocauste" sont fausses pour avoir été manipulées par de bien imprudents et stupides apprentis-sorciers, tous escrocs et faussaires qu'aucune juridiction ne pourra sauver du désastre à venir.

À ce propos, rappelons, en passant, aux magistrats de France et de Navarre, ce principe qui découle du simple bon sens : DANS LE DOUTE, ABSTIENS-TOI !

Quant aux néga-sionistes, ces historiens de pacotille, dont certains sont bardés de diplômes, voire pantouflent au CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique), nous n'aurons à leur intention qu'un message simple : "vous avez perdu la guerre !". Parce que les faits sont là : la thèse d'une extermination des "Juifs" (= gens de la synagogue), en Pologne, dans des 'Gaskammer', par les nazis, n'est que pure ineptie, dès lors qu'il peut être prouvé que, par exemple, dans la bouche d'Hitler, Juif ne se réduisait pas à Juif et que, par ailleurs, le médecin de famille qui a assisté la veuve Hitler, mère d'Adolf, atteinte d'un cancer, était juif et s'est vu décerner le titre de 'Edeljude' ('Juif d'honneur', 'Juif en or'...) par Adolf Hitler en personne, 'Edeljude' voulant dire "protégé de toute persécution" ! Et il y avait des 'Edeljuden' en Allemagne, sous Hitler !

Mais il y a beaucoup plus important : l'édification des jeunes générations, celles-là mêmes qui sont la cible principale de toutes les manipulations, et auxquelles on tente, aujourd'hui, de faire croire à peu près tout et n'importe quoi. Nous invitons tous ces jeunes – collégiens, lycéens, étudiants..., que les néga-sionistes tentent de sensibiliser à l'enfer nazi vu sous un seul aspect, l'"extermination des Juifs", le tout à coups d'opérations de désinformation faites de visites à Auschwitz (= Birkenau), encore Auschwitz (= Birkenau) et toujours Auschwitz (= Birkenau) ! – à se méfier comme de la peste des visites [un peu trop bien] guidées (les camps de concentration nazis se comptaient par dizaines de milliers !) ainsi que du cynisme des pros du devoir de mémoire... sélective. Pour tous ces cyniques, en effet, il n'y a jamais eu dans les camps nazis de communistes, de socialistes, de tziganes, d'homosexuels, de témoins de Jéhovah, de prêtres catholiques, de pasteurs protestants, de résistants, etc. Et le plus incroyable de tout cela est que ce soient les contestataires de cet immonde mensonge qui passent, aujourd'hui, pour des négationnistes. Mais la roue tourne !

 

(*) On enseigne à tous les étudiants de première année de droit que, depuis l'ordonnance de Villers-Côterets (1539), la langue administrative de la France est le français, et certainement pas l'hébreu ! Du coup, des formules comme "contestation de la shoah" ne veulent strictement rien dire et nous n'imaginons pas une seconde que quelqu'un puisse être inquiété sur le plan judiciaire pour "contestation de la shoah" ! Le ministère public et les plaignants devraient, donc, être systématiquement déboutés de toute action judiciaire évoquant le vocable "shoah". Quant à l'holocauste, tout(e) Juif/ve qui se respecte sait qu'il s'agit d'un acte sacré, commis pour la bonne cause !

 

Dans la rubrique : "Devoir de mémoire... sélective"

 

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