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Sémantique (1)

 

* Une "chambre à gaz", c'est grand... comment ?

 

L'étude minutieuse et systématique des archives et divers documents relatifs à la période nazie montre amplement que l'expression "chambre à gaz" ne veut strictement rien dire, dès lors qu'il y avait un peu de tout. Pour preuve, de nos jours, on voit des gens s'intoxiquer, voire mourir des effets du monoxyde de carbone, dans leur salle de bains ou cuisine, des suites d'un mauvais tirage d'un poële à charbon. On voit aussi des paroissiens, réunis dans une église, connaître des malaises pour les mêmes raisons ! Par conséquent, n'importe quel local mal ventilé peut faire office de chambre à gaz de fait !

 

Lu dans le journal...

 

gaz

 

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Comme preuve qu'une "chambre à gaz", c'est assez facile à fabriquer : tout local mal ventilé peut faire l'affaire. Ce qui veut dire que les nazis n'avaient pas besoin d'installations compliquées, ni même permanentes pour parvenir à leurs buts.

À propos du camp de concentration de Neuengamme, l'Unterscharführer SS Willi Bahr, un gradé du service sanitaire, avait été formé à l'utilisation du Zyklon B. Déposant dans le procès intenté par le gouvernement militaire britannique contre les membres SS du personnel du camp, il comparut selon les règles de la procédure britannique, en qualité de témoin, bien qu'il fût accusé. Extrait de l'audition du témoin par l'avocat de la défense :

– Oui, je n'avais besoin que de cinq boîtes.
– Saviez-vous que cela suffirait ?
– Oui, le médecin de la station m'avait donné l'ordre de verser une demi-boîte par tuyau.
– Vous êtes-vous alors approché du bunker avec les boîtes ?
– Non, c'est le détenu Müller qui l'a fait.
–Vous étiez donc déjà près du bunker ?
– Oui.
– Avez-vous vu les Russes quand on les a menés dans le bunker ?
– Oui. Ils s'étaient déshabillés et on les menait des bains au bunker.
– Les Russes savaient-ils ce qui les attendait ?
– Je n'en sais rien.
– Les Russes se sont-ils laissé conduire sans difficulté ou ont-ils opposé une résistance ?
– Je n'ai pas pu m'en rendre compte.
– En visitant les locaux, nous avons vu que les cellules de ce bunker étaient très étroites. Le bunker devait être très plein, si l'on y a mis cent quatre-vingts à deux cents personnes.
– Je ne peux rien dire à ce sujet, car je n'ai jamais été employé à cela. C'était fait par les Blockführers. Mon rôle se limitait à préparer le Zyklon B pour le mettre dans les tuyaux...

Source : Eugen Kogon et alii, Les chambres à gaz secret d'État, Ed. de Minuit, 1984, pp. 243-244

 

Pour mémoire, à en croire les experts du shoah-business ainsi que la "thèse officielle", le zyklon B fut l'outil majeur de l'extermination des juifs, dans des chambres à gaz installées dans des (six) camps d'extermination polonais, sous-entendu : en Allemagne et ailleurs, il n'y avait que des "camps de concentration" (où, comme de bien entendu, personne n'a été "exterminé".). On se demande, par conséquent, ce que viennent faire des chambres à gaz au zyklon B à Neuengamme, en Allemagne !

 

* "Euthanamination"/"Exterminasie" : euthanasie =/ extermination ?

 

euthanamination

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Source : Kogon et alii, op. cit., pp. 136-137, 73, 75, 84, 90, 91, 95

 

Observations : les historiens de la "Shoah" et de l'"Holocauste" ont le génie de jouer avec les mots, leur faisant dire ce qu'ils veulent, selon les circonstances. Ainsi, selon qu'un camion à gaz sert à liquider des malades mentaux dans le cadre du programme T4, on parlera d'euthanasie, tandis que si le même camion sert à liquider des Juifs estropiés et des "Muselmänner" malades, cachectiques ou atteints du typhus, alors nos experts parleront d'extermination, l'euthanasie évoquée plus tôt n'étant plus qu'une répétition générale avant la grande vague exterminatrice. Mais il arrive que nos experts hésitent dans le choix des mots, ce qui produit un bel embrouillamini.

"Chelmno (nom germanisé : Kulmhof) est une petite ville située à environ 80 km de la ville de Lodz. C'est à cet endroit qu'eurent lieu les premières exterminations massives de Juifs par gaz, exterminations faisant partie de la "Solution finale". Le processus d'extermination était exécuté par un "Sonderkommando" placé sous le commandement de Herbert Lange. Il avait été transféré de Posen à Chelmno sitôt après avoir terminé son activité meurtrière dans le cadre du programme d'euthanasie T4, programme consistant en l'extermination des handicapés mentaux. Lange, ainsi que son unité, avaient une bonne expérience de l'utilisation des chambres à gaz mobiles. Les camionnettes étaient aménagées de façon à envoyer directement les gaz d'échappement dans le fourgon (...). La technique utilisée pour l'extermination était relativement simple. Le "Sonderkommando" disposait de trois camionnettes sur châssis Renault, transformées en chambres à gaz mobiles... Lorsque l'unité de Lange arriva à Chelmno, ils avaient déjà eu tout le temps d'expérimenter et tester ce système au cours du programme d'euthanasie T4."

La rigueur sémantique la plus élémentaire exige qu'à des situations identiques, l'on applique la même terminologie. En ce qui nous concerne, il y a lieu de distinguer les mises à mort militaires ou policières (cf. les fusillades), qui relèvent du massacre voire du génocide, d'une part, et les mises à mort supervisées par des médecins, d'autre part, qui relèvent de l'euthanasie. Cette affirmation est d'autant plus facile à faire que bien des acteurs du programme T4 (euthanasie des malades mentaux et handicapés) ont poursuivi leur carrière dans des camps de concentration (Belzec, Chelmno...).

(...) Stangl était la figure directrice. C'était lui qui surveillait le fonctionnement. Par sa personnalité et sa longue expérience du programme d'euthanasie, il convenait particulièrement bien au poste de commandant de camp. (Kogon et alii, op. cit., p. 161)

Nous évoquons, ailleurs sur ce site, le cas du jeune Jo Wajsblat, qui a connu un bref passage dans LA Chambre à gaz d'Auschwitz :

 

wajsblat

 

"Les kapos nous avaient fait déshabiller puis nous ont poussé dedans. On savait tous ce qui se passait, qu'on allait mourir dans quelques minutes... Là, on a entendu hurler dehors, et la porte s'est ouverte.(...) C'était Mengele, le médecin-chef. Il était furieux. Il nous a crié : "Heraus, heraus !" (...) Il m'a fallu les deux jours pour comprendre ce qui s'était passé. Mengele avait dû s'absenter du camp pendant vingt-quatre heures, et en son absence, un autre officier SS avait fait la sélection pour la chambre. Mais Mengele voulait montrer que le chef, c'était lui, que c'était à personne d'autre de sélectionner."

Observons, en passant, qu'à treize ans, Wajsblat était fort perspicace, pour comprendre instantanément, à peine sorti d'un wagon à bestiaux, que le local dans lequel il venait d'être enfermé était un lieu de mise à mort. Par ailleurs, ce jeune garçon connaît déjà Mengele, qui devait avoir son nom cousu sur sa vareuse, enfin, supposons-nous ! Mais le véritable scoop est que c'est Mengele qui commande : les sélections, c'est lui ! Or Mengele est médecin ! Ou Wajsblat est un affabulateur, ou alors il apporte un paquet d'eau à notre moulin : les chambres à gaz servaient à l'euthanasie des inaptes au travail et autres bouches inutiles à nourrir. Il vaudrait donc mieux parler, à propos d'Auschwitz, Maïdanek, Struthof-Natzweiler... (on trouve des chambres à gaz dans pas mal d'endroits.), par exemple, de sites d'euthanasie et non d'extermination.

Notons, à ce sujet, que la sélection, via des officiers-médecins de la Waffen SS, a pu se produire au sein même du camp (Auschwitz), ou en amont (Chelmno, Belzec).

Il ressort des documents les plus fiables qu'une "chambre à gaz", c'est petit, qu'il s'agisse de camionnettes à gaz, de fermettes converties en bunkers (cf. Josef Kremer et Hans Münch, médecins à Auschwitz) ou même des chambres à gaz de Maïdanek. Le fait est que les immenses bunkers évoqués pour Auschwitz n'ont été visualisés par personne de crédible (les mémoires de Höss, commandant du camp d'Auschwitz, étant, selon nous, un faux grossier, en tout cas, un document bourré d'erreurs factuelles incompréhensibles et, pour cette raison même, sérieusement amendé par une main qui n'est pas celle de Hoess, document, par ailleurs, édité après la mort de l'intéressé, ce qui était bien plus commode !).

 

Struthof-Natzweiler :

struthof

 

87 personnes par groupes d'une trentaine chaque fois... C'est dire si "das gazkammer", la chambre à gaz, devait être petite !

 

camps
camps

 

25 mètres carrés, soit cinq mètres sur cinq, pour 45 mètres cubes au total ; ce sont effectivement les mensurations d'une "chambre" ! Ein Kammer kann nur ein kleiner Raum sein, sonst spricht man eher von einer Halle (Sporthalle, Stadthalle, Hallenbad) ! Le terme Kammer désigne des locaux de petite taille ; plus grands, il vaudrait mieux parler de Halle(n) (cf. les équivalents allemands de gymnase, hôtel de ville, piscine couverte) ! Dans les archives allemandes, nous n'avons trouvé trace d'aucune Gashalle !

Deux heures quarante-neuf minutes d'attente, pour cause de panne moteur. Et pourtant, les experts nous avaient copieusement bassinés avec la thèse de la répétition générale, les gazages pratiqués sur les estropiés et malades mentaux du programme T4 étant censés avoir servi de prototype au génocide INDUSTRIEL opéré dans les camps dits d'extermination.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que, venant d'une nation d'ingénieurs [les nazis avaient une confortable avance sur leurs adversaires en matière de gaz de combat ; ils étaient sur la piste de l'énergie nucléaire, testaient les premiers avions à réaction, pouvaient produire du carburant pour les voitures, navires et avions, sans avoir de pétrole, fabriquaient des pneus pour équiper leurs véhicules, sans avoir le moindre approvisionnement en caoutchouc naturel ! Pour le reste, on connaît le talent de Wernher von Braun, futur patron de la NASA!], le caractère "bricolo" des gazages, avec leurs innombrables pannes, et ce, malgré la "répétition générale" (quelle répétition générale ?), laisse pantois !

Et dire qu'il y avait bien plus efficace que les "chambres à gaz".

 

gaz

 

... On voyait les oiseaux tomber des arbres !

(...) Aussitôt ouverts, les fûts dégagent un nuage verdâtre qui dérive lentement sur les troupes françaises. L'effet est terrible : le poison qui corrode la bouche, les yeux et les bronches provoque des hémorragies. Asphyxiés, les hommes, deux mains à la gorge, sortent des tranchées en crachant du sang, à la recherche du moindre souffle. D'autres, aveuglés, sautent à petits pas, tombent et agonisent dans la souffrance. Les soldats qui vont au secours des malades sont fauchés par les mitrailleuses. Pas étonnant donc qu'ils abandonnent leurs positions, ouvrant ainsi une brèche sur le front... (Fritz Haber, chimiste à double visage, in Pseudo-sciences.org)

L'ypérite est un gaz plus lourd que l'air, ce qui fait qu'il adhère au sol et asphyxie les êtres vivants sur plusieurs mètres de hauteur ; du coup, les oiseaux tombent effectivement des arbres. Et n'importe quel bon étudiant de chimie sait qu'il y a bien plus efficace que le meurtre de populations entières dans d'improbables chambres ou camionnettes à gaz : l'épandage de gaz de combat dans une plaine permettait du tuer les soldats ennemis par dizaines de milliers, en très peu de temps, avec un rendement infiniment supérieur à celui de toutes les chambres à gaz imaginables !

Pour mémoire, en pleine campagne génocidaire contre les Hottentots, en Afrique australe, le Kaiser Guillaume était à la recherche d'une technique permettant de gazer des villes entières, tandis que d'autres (par exemple en Belgique) voyaient dans l'invention de Fritz Haber "une méthode efficace pour nettoyer un pays de ses indigènes afin de l'ouvrir à la colonisation".

Car, bien évidemment, c'est en plein air que le gaz de combat donne la pleine mesure de son efficacité. Ce qui amène une question évidente : mais pourquoi diable les nazis ont-ils eu recours à ce système mal foutu de gaz d'échappement de camionnettes ou de moteurs diesel mal réglés et tombant tout le temps en panne, voire à un dangereux insecticide aux sels de cyanure exigeant plusieurs jours de ventilation avant réutilisation, alors même qu'ils (les nazis) possédaient, depuis belle lurette, une arme chimique capable de tuer instantanément des dizaines de milliers de gens, en plein air !?!?

À cette question essentielle, les experts du shoah-business se sont toujours gardés de répondre. Comme on les comprend !

Parce que, bien évidemment, il y a une explication !

 

 

 

 

 

 

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