THE BIG FAKE |
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ou LA GROSSE ESCROQUERIE |
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... et dire que Dieudonné avait raison !
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(...) L'histoire du IIIe Reich ne se réduit pas à quelques simplifications manichéennes ; tous ceux qui portaient l'uniforme à croix gammée n'étaient pas forcément des nazis, au sens que nous donnons au terme aujourd'hui et tous les gens d'origine juive n'étaient pas voués aux camps d'extermination ; les officiers de la Wehrmacht n'étaient pas tous de purs Aryens et les officiers aryens n'étaient pas tous des antisémites forcenés. (...) Le problème des Mischlinge ("métis") en dit long sur la complexité du régime nazi : la réglementation les concernant était un labyrinthe fait de contradictions et de lacunes reflétant les incertitudes des nazis sur le traitement des Allemands en partie (sic !) juifs. (...) Le plus surprenant est le temps qu'il (Hitler) consacra aux dossiers d'exemption. On peut comprendre qu'il soupesât le pour et le contre d'une aryanisation de généraux d'origine juive, mais il accordait autant d'attention à des demandes provenant de simples soldats. Une attitude de même que celle de son aide de camp Engel ou du capitaine de frégate Frey paraissent incompatibles avec la Weltanschauung national-socialiste. Bryan M. Rigg, La tragédie des soldats juifs d'Hitler (traduction débile de l'original : Hitler's Jewish soldiers), Editions de Fallois, 2003, pp. 359, 360, 362.
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